A Paris, des riverains de la "salle de shoot" partagés avant la fin de l'expérimentation
"Dépassés", "soulagés" ou inquiets, les riverains de la "salle de shoot" de Paris sont partagés sur cette expérimentation menée au nom de la santé et de la tranquillité publiques, qui arrive à son terme fin 2025.
Appelées "salles de consommation à moindre risque" quand elles ont été créées en 2016 à Paris et Strasbourg, les deux "haltes soins addictions" (HSA) s'adressent "aux plus démunis et exclus du système de soin".
Sous la surveillance de soignants, les 200 à 300 visiteurs quotidiens de la HSA adossée à l'hôpital Lariboisière s'injectent eux-mêmes leur produit avec des seringues stériles fournies par l'association médico-sociale Gaïa-Paris.
"Dépassés", "soulagés" ou inquiets, les riverains de la "salle de shoot" de Paris sont partagés sur cette expérimentation menée au nom de la santé et de la tranquillité publiques, qui arrive à son terme fin 2025.
Appelées "salles de consommation à moindre risque" quand elles ont été créées en 2016 à Paris et Strasbourg, les deux "haltes soins addictions" (HSA) s'adressent "aux plus démunis et exclus du système de soin".
Sous la surveillance de soignants, les 200 à 300 visiteurs quotidiens de la HSA adossée à l'hôpital Lariboisière s'injectent eux-mêmes leur produit avec des seringues stériles fournies par l'association médico-sociale Gaïa-Paris.