X est devenu une dictature numérique !
Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire américain Elon Musk, le réseau social rebaptisé X est devenu infréquentable pour tous ceux pour qui la démocratie semble se limiter à leurs semblables qui pensent comme eux. C'est pour cette raison qu'a été lancé la campagne #HelloQuitteX dont la grande revendication est de quitter X le jour de l'investiture du 47éme Président des Etats Unis d'Amérique.Un service en ligne éponyme a même été créé à cette occasion. C'est David Chavalarias, mathématicien au CNRS qui est à l'origine du concept de l'application « HelloQuitteX ». Il a expliqué que « beaucoup d'utilisateurs sont captifs de leur audience sur X », ajoutant que « certains n'arrivent pas à se décider à partir, de peur de perdre leurs sources ou leur public ». L'application a été développée et mise en œuvre par une équipe d'une trentaine de personnes, avec un objectif totalement « transpartisan et apolitique ».Si réellement quitter X en faisant transiter les données de votre compte X via les serveurs du CNRS pour les migrer vers d'autres réseaux sociaux plus humains comme Mastodon ou Bluesky, vous savez maintenant où vous rendre. De notre côté on va continuer à aller sur X, car la démocratie c'est justement laisser tout le monde s'exprimer, même ses ennemis, et ne pas se limiter à vivre uniquement avec ceux qui pensent que comme vous.
Depuis le rachat de Twitter par le milliardaire américain Elon Musk, le réseau social rebaptisé X est devenu infréquentable pour tous ceux pour qui la démocratie semble se limiter à leurs semblables qui pensent comme eux. C'est pour cette raison qu'a été lancé la campagne #HelloQuitteX dont la grande revendication est de quitter X le jour de l'investiture du 47éme Président des Etats Unis d'Amérique.
Un service en ligne éponyme a même été créé à cette occasion. C'est David Chavalarias, mathématicien au CNRS qui est à l'origine du concept de l'application « HelloQuitteX ». Il a expliqué que « beaucoup d'utilisateurs sont captifs de leur audience sur X », ajoutant que « certains n'arrivent pas à se décider à partir, de peur de perdre leurs sources ou leur public ». L'application a été développée et mise en œuvre par une équipe d'une trentaine de personnes, avec un objectif totalement « transpartisan et apolitique ».
Si réellement quitter X en faisant transiter les données de votre compte X via les serveurs du CNRS pour les migrer vers d'autres réseaux sociaux plus humains comme Mastodon ou Bluesky, vous savez maintenant où vous rendre. De notre côté on va continuer à aller sur X, car la démocratie c'est justement laisser tout le monde s'exprimer, même ses ennemis, et ne pas se limiter à vivre uniquement avec ceux qui pensent que comme vous.