L'aspartame dans le collimateur de Foodwatch et de la Ligue contre le cancer
L'ONG Foodwatch, l'association française la Ligue contre le cancer et l'application française de nutrition Yuka ont lancé mardi une pétition conjointe visant l'interdiction de l'aspartame, un édulcorant sucrant controversé car possiblement dangereux pour la santé.
Objectif affiché de cette pétition, diffusée dans onze pays européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Italie, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse) : "Faire pression sur les institutions européennes afin d'interdire cet additif et demander aux Etats membres de l'Union Européenne d'agir" en précaution, peut-on lire dans un communiqué commun.
Présent, selon Foodwatch, dans plus de 6.000 produits et notamment ceux dits allégés comme certains sodas sans sucres, yaourts 0% ou encore chewing-gums, l'aspartame est autorisé depuis 1988 en France et suscite des débats quant aux risques que cet édulcorant artificiel pourrait faire peser sur la santé.
L'ONG Foodwatch, l'association française la Ligue contre le cancer et l'application française de nutrition Yuka ont lancé mardi une pétition conjointe visant l'interdiction de l'aspartame, un édulcorant sucrant controversé car possiblement dangereux pour la santé.
Objectif affiché de cette pétition, diffusée dans onze pays européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Italie, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse) : "Faire pression sur les institutions européennes afin d'interdire cet additif et demander aux Etats membres de l'Union Européenne d'agir" en précaution, peut-on lire dans un communiqué commun.
Présent, selon Foodwatch, dans plus de 6.000 produits et notamment ceux dits allégés comme certains sodas sans sucres, yaourts 0% ou encore chewing-gums, l'aspartame est autorisé depuis 1988 en France et suscite des débats quant aux risques que cet édulcorant artificiel pourrait faire peser sur la santé.