50 ans après la loi Veil : « Il faut continuer de représenter l’avortement dans la fiction », analyse Monika Siejka
Christina dans Grey’s Anatomy, Laure Berthaud dans Engrenages, ou encore Emilie et Nisma dans Plus belle la vie, sont tombées enceintes accidentellement. Ces héroïnes, extrêmement suivies, ont porté à l’écran le sujet de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), toujours attaqué. À l’occasion des cinquante ans de la loi Veil, Monika Siejka, enseignante-chercheuse spécialiste de la représentation des femmes dans les séries, revient sur la figuration de l’avortement dans la fiction.
Christina dans Grey’s Anatomy, Laure Berthaud dans Engrenages, ou encore Emilie et Nisma dans Plus belle la vie, sont tombées enceintes accidentellement. Ces héroïnes, extrêmement suivies, ont porté à l’écran le sujet de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), toujours attaqué. À l’occasion des cinquante ans de la loi Veil, Monika Siejka, enseignante-chercheuse spécialiste de la représentation des femmes dans les séries, revient sur la figuration de l’avortement dans la fiction.